mercredi 28 décembre 2016

LE VERBE HABITE PARMI NOUS

      « Le  Verbe s’est fait chair
          et il a demeuré  parmi  nous »
                                                   (St Jean  1)
   
        « Dieu n’a plus rien à nous dire
          puisque  ce qu’il disait jadis
          par  les prophètes,  il l’a dit
          maintenant de façon complète
          en nous donnant  tout
          dans le Fils .
          fixez les yeux sur Lui seul :
          vous trouverez là
          tout ce que vous désirez . »
                                        (St Jean de la Croix)
      
          Joyeux Noël et bonne Année 2017

           

mardi 6 décembre 2016

Visite à la ferme Circle NDairy à Lindsay

Le 18 octobre  à 10 h 00 après la messe avec Christy nous visitons l’exploitation Circle NDairy
Michelle
,Michelle, l’épouse du propriétaire ,  nous explique avec élégance l’essentiel de leur travail. Nous visitons  quelques lieu et surtout les veaux dans leurs niches. Après avoir bu le bon lait de la ferme, et compris comment se passe une journée dans une ferme Texaine, nous rentrons à la cabine pour préparer le travail à Muenster le 19 oct avec les élèves de l'école Sacred Heart ( Scacré coeur).



Il a six semaines

Partage de la vie missionnaire dans le diocèse de Fort Worth



Le Mercredi 16 novembre, sœur Roberta, sœur Immaculée et Sœur Marie Justine se rendent pour une mission de 5 jours à Muenster, avec un objectif précis : remercier la population pour les dons pour les études des jeunes sœurs en Afrique, expliquer ce que font les sœurs de sainte Marie en Afrique et présenter des nouveaux projets pour l’avenir. En chemin nous nous arrêtons à Gainesville à l’école primaire Sainte Marie. La directrice nous accueille chaleureusement et nous dit que les écoliers  seront prêts à écouter les missionnaires d’Afrique à 11h 00. Nous avons 30 min devant nous que faire ? On se dirige dans le village, un bon petit restaurant au coin. La servante reconnait sœur Roberta, l’accueil est bonne et nous attendons les plats commandés, le temps passe, puis nous  nous apercevons qu’il nous reste 15 minutes avant le rendez-vous, nous demandons un emballage pour emporter le repas. Il est 13h. Nous sommes devant l’école, sœur Immaculée prend les plus âgés c’est-à-dire le 4è 5è et 6è et moi je m’amuse avec les plus jeunes.
Grâce un power point, nous expliquons le travail et la vie des sœurs de Sainte Marie en Afrique. Oui l’Afrique est un continent et non un pays, il faut encore le découvrir.
Qu’est-ce que un orphelinat demande un petit ? Pourquoi est-ce que ces enfants n’ont pas de parents ? Ces jeunes gens découvrent aussi que les enfants d’Afrique vont à l’école comme eux, Mais n’ont pas les mêmes conditions de travail. Contentes de ce premier rencontre, nous nous dirigeons à la cabine qui sera notre habitation pendant le séjour. Un petit coin bien calme et très bien aménagé dans le bois à proximité de Muenster.

La cabine à Muenster



mercredi 27 avril 2016

Sanctifier et prendre soin de la Terre


Le 31 mars 2016,  Sœur Maureen la supérieure générale et des Sœurs Congolaises, une quinzaine, sont partie  pour  assister à la cérémonie de transfert de pouvoirs sur le  terrain d’un propriétaire à l’autre, selon la culture et la coutume du lieu.
 En effet, il y a plusieurs années,  les Sœurs de Sainte Marie du  Congo ont acheté un terrain  de 100 ha, à kipuka, un secteur à 20 km de Kikwit. Leur intention était de déplacer leur Kraal qui se trouve à 50 km de Djuma dans le village Ngunu, et d’utiliser le terrain comme une sorte de ferme pour la province ; ce qui leur permettrait de planter du manioc, des légumes et beaucoup d’arbres fruitiers et, . Il sera  également  le terrain sur lequel elles élèveraient  non seulement des vaches, mais aussi des poules, des chèvres et des moutons. L'achat de la terre et des vaches a été financé par le Luxembourg.



Le notable du clan  qui avait vendu la terre aux Sœurs, était venu, accompagné de plusieurs autres autorités… Pour conclure la vente d’un terrain selon la coutume, il est important d’invoquer les ancêtres à qui cette terre avait appartenu, leur assurer que l’achat a été fait selon les règles et que la terre allait être transférée à de nouveaux propriétaires. Impressionnante et touchante cérémonie pour ceux  qui étaient  sur place !

D’abord, c’était nécessaire de trouver une noix de cola et du malafu  (du vin de palme). Une fois ceux-ci  disponibles, nous nous sommes rassemblés près du kraal. L’ancien propriétaire a creusé un trou, il y a placé cérémonieusement la noix de cola et y a versé un  peu de malafu.
Dans un beau discours plein de gentillesse et de tendresse, il s’est adressé à ces  ancêtres leur disant que les Sœurs avaient acheté la terre selon  la loi et que désormais, celle-ci n’appartenait plus à leur famille. Il leur a demandé, comme anciens propriétaires de ne pas souhaiter du mal aux Sœurs ni leur porter préjudice mais plutôt de bénir leurs efforts de rendre cette terre fertile.

Ensuite ceux  qui étaient présents, se sont  baissés, avaient touché le sol qui avait reçu la noix de cola et le malafu afin de manifester leur accord avec tout ce qui venait d’être demandé aux ancêtres.










Dans une procession  jubilante, l’assemblé s’est dirigé vers l’endroit où les Sœurs avaient préparé l’autel. Un  prêtre jésuite, Père Paul, a célébré l’Eucharistie pour tout le monde. Il a commencé par attirer l’attention sur tous les animaux déjà présents en train de déambuler sur le terrain. La lecture du livre de la Genèse a rappelé la responsabilité envers la terre et toutes les créatures qui l’habitent. Les chants de la liturgie parlaient des merveilles et de la beauté de la création. L’Eucharistie christianisait ainsi l’ancienne coutume concernant le transfert d’un terrain : deux mondes, deux  traditions prises ensemble dans  une grande harmonie.






Après la célébration eucharistique, tout le monde a  partagé un diner festif dans lequel un bouc et une poule élevées à la ferme ont été intégrées dans le menu du jour.
Excitation et joie imprégnaient la célébration, spécialement pour les Sœurs ayant la certitude que dorénavant la terre a été bénie et leur est acquise en bonne et due forme.
La célébration s’est terminée par des embrassades chaleureuses et l’encouragement des anciens propriétaires pour que les sœurs apportent vie et nourriture à Kipuka, grâce à ce terrain qui leur avait appartenu.

Au moment où tout le monde se préparait  à rentrer à Kikwit, les septante quatre bêtes revenaient de leur journée de pâturage. Le bruit de vigoureux sabots, en entrant dans le kraal, était la confirmation tangible de l’espérance qui avait rempli notre journée.

lundi 25 avril 2016

vivre les couleurs de Sainte Marie





 Le vendredi 15 avril 2016, les finalistes des écoles Sainte-Marie de Belgique se sont retrouvés à la Citadelle de Namur pour une journée rencontre entre les élèves et découverte.
 A l’invitation des directions et d’ « Écoles Héritage », Ecoles Héritage : Depuis 2010, des directeurs des écoles Sainte-Marie, des sœurs de Sainte-Marie et des amis se retrouvent dans le but d’un partage, et pour vivre des moments ensemble. Ils ont notamment organisé la journée des finalistes pour vivre dans cet esprit Sainte-Marie avec les élèves.
Tous les jeunes de sixième primaire, de rhétorique et de 7e secondaire se sont rencontrés au théâtre de verdure pour partager le vécu de leurs écoles Sainte-Marie : les valeurs qui les animent et la manière de les vivre. 
Arrivés en bus, train, ou même bateau, à Namur, berceau des sœurs de Sainte-Marie, les jeunes ont découvert l’école Sainte-Marie Namur et le quartier du vieux Namur. Ils se sont ensuite lancés à l’assaut des sentiers boueux de la citadelle pour se retrouver au théâtre de Verdure. Ils y ont reçu  un pique-nique avant de se donner dans les animations festives sous la baguette d’une animatrice très motivée.
Au programme des activités : des créations scéniques, chantées, filmées par les écoles et les élèves. L’après-midi suivait le fil rouge d’un Slam écrit et enregistré par les élèves de Jambes, Huy, Namur et Seraing,



Les couleurs de Sainte-Marie sous le soleil, dans la bonne humeur, et le désir de partage. Les élèves sont repartis le sourire aux lèvres et la tête pleine de sourires. Dans les propos des jeunes, dominait la joie de faire partie de la grande famille accueillante de Sainte-





vendredi 1 janvier 2016

le 1er janvier:journée mondiale de la paix




Extrait du message du pape François pour le  1er janvier 2016




. Dieu n’est pas indifférent ! Dieu accorde de l’importance à l’humanité, Dieu ne l’abandonne pas ! Au début de l’année nouvelle, je voudrais accompagner de cette profonde conviction les vœux d’abondantes bénédictions et de paix, sous le signe de l’espérance, pour l’avenir de tout homme et de toute femme, de toute famille, peuple et nation du monde, ainsi que des Chefs d’État et de Gouvernement et des Responsables des religions.
Certains événements des années passées et de l’année qui vient de s’achever m’invitent, dans la perspective de l’année nouvelle, à renouveler l’exhortation à ne pas perdre l’espérance dans la capacité de l’homme, avec la grâce de Dieu, à vaincre le mal et à ne pas s’abandonner à la résignation et à l’indifférence.
 Les événements auxquels je me réfère représentent la capacité de l’humanité à œuvrer dans la solidarité au-delà des intérêts individuels,
Parmi ceux-ci je voudrais rappeler l’effort fait pour favoriser la rencontre des leaders mondiaux, dans le cadre de la COP 21, afin de chercher de nouvelles voies pour affronter les changements climatiques et sauvegarder le bien être de la Terre, notre maison commune.
2015 a été aussi une année spéciale pour l’Église, parce qu’elle a été marquée par le 50ème anniversaire de la publication de deux documents du Concile Vatican II qui expriment de manière très éloquente le sens de la solidarité de l’Église avec le monde.
Le Pape Jean XXIII, au début du Concile, a voulu ouvrir tout grand les fenêtres de l’Église pour que la communication entre elle et le monde soit plus ouverte. Les deux documents, Nostra aetate et Gaudium et spes, sont des expressions emblématiques de la nouvelle relation de dialogue, de solidarité et d’accompagnement que l’Église veut introduire à l’intérieur de l’humanité.
, l’Église désire instaurer un dialogue avec la famille humaine sur les problèmes du monde, en signe de solidarité et de respectueuse affection.
Dans cette même perspective, avec le Jubilé de la Miséricorde, je veux inviter l’Église à prier et à travailler pour que tout chrétien puisse mûrir un cœur humble et compatissant, capable d’annoncer et de témoigner la miséricorde, de « pardonner et de donner », de s’ouvrir « à ceux qui vivent dans les périphéries existentielles les plus différentes, que le monde moderne a souvent créées de façon dramatique »
Il y a de multiples raisons pour croire en la capacité de l’humanité à agir ensemble, en solidarité, dans la reconnaissance de sa propre interconnexion et interdépendance, ayant à cœur les membres les plus fragiles et la sauvegarde du bien commun. Cette attitude de coresponsabilité solidaire est à la racine de la vocation fondamentale à la fraternité et à la vie commune.

 Les guerres et les actions terroristes, avec leurs tragiques conséquences, les séquestrations de personnes, les persécutions pour des motifs ethniques ou religieux, les prévarications, ont marqué l’année passée du début à la fin, se multipliant douloureusement en de nombreuses régions du monde, au point de prendre les traits de ce qu’on pourrait appeler une « troisième guerre mondiale par morceaux ».

 Il est certain que l’attitude de l’indifférent, de celui qui ferme le cœur pour ne pas prendre en considération les autres, de celui qui ferme les yeux pour ne pas voir ce qui l’entoure ou qui s’esquive pour ne pas être touché par les problèmes des autres, caractérise une typologie humaine assez répandue et présente à chaque époque de l’histoire.
La première forme d’indifférence dans la société humaine est l’indifférence envers Dieu, dont procède l’indifférence envers le prochain et envers la création.  L’homme pense être l’auteur de lui-même, de sa propre vie et de la société ; il se sent autosuffisant, et il cherche non seulement à se substituer à Dieu, mais à le faire disparaître complètement
L’indifférence envers le prochain prend différents visages. Il y a celui qui est bien informé, écoute la radio, lit les journaux ou assiste aux programmes télévisés, mais il le fait de manière tiède, presque dans une condition d’accoutumance :
Dans d’autres cas, l’indifférence se manifeste comme un manque d’attention vis-à-vis de la réalité environnante, surtout la plus lointaine.
En vivant dans une maison commune, nous ne pouvons pas ne pas nous interroger sur son état de santé, comme j’ai cherché à le faire dans Laudato si’. La pollution des eaux et de l’air, l’exploitation sans discernement des forêts, la destruction de l’environnement, sont souvent le fruit de l’indifférence de l’homme envers les autres, parce que tout est lié.
Dans ces cas, et dans d’autres, l’indifférence provoque surtout une fermeture et un désengagement, et finit ainsi par contribuer à l’absence de paix avec Dieu, avec le prochain et avec la création.
Au niveau individuel et communautaire l’indifférence envers le prochain, fille de l’indifférence envers Dieu, prend l’aspect de l’inertie et du désengagement qui alimentent la prolongation de situations d’injustice et de grave déséquilibre social
En ce sens, l’indifférence et le désengagement qui en est la conséquence constituent un manque grave au devoir que toute personne a de contribuer, dans la mesure de ses capacités et de son rôle dans la société, au bien commun, en particulier à la paix, qui est l’un des biens les plus précieux de l’humanité


Quand, il y a un an, dans le Message pour la Journée Mondiale de la Paix, “Non plus esclaves mais frères”, j’évoquais la première icône biblique de la fraternité humaine, celle de Caïn et Abel (cf. Gn 4, 1-16), c’était pour attirer l’attention sur la manière dont cette première fraternité a été trahie.
Dieu intervient alors, pour appeler l’homme à la responsabilité à l’égard de son semblable, comme il a fait lorsqu’Adam et Ève, les premiers parents, ont rompu la communion avec le Créateur.
De la même façon, en son Fils Jésus, Dieu est descendu parmi les hommes, il s’est incarné et il s’est montré solidaire de l’humanité, en toute chose, excepté le péché. Jésus s’identifie avec l’humanité : « l’aîné d’une multitude de frères » (Rm 8, 29). Il ne se contente pas d’enseigner aux foules, mais il se préoccupe d’elles, spécialement quand il les voyait affamées (cf. Mc 6, 34-44) ou sans travail
(Et il agit pour mettre fin à la souffrance, à la tristesse, à la misère et à la mort.
Jésus nous enseigne à être miséricordieux comme le Père .
La miséricorde est le cœur de Dieu. Elle doit donc être aussi le cœur de tous ceux qui se reconnaissent membres de l’unique grande famille de ses enfants ; un cœur qui bat fort partout où la dignité humaine – reflet du visage de Dieu dans ses créatures – est en jeu. Jésus nous avertit : l’amour pour les autres – les étrangers, les malades, les prisonniers, les sans-domicile-fixe, même les ennemis – est l’unité de mesure de Dieu pour juger nos actions. De cela dépend notre destin éternel.
Voilà pourquoi « il est déterminant pour l’Église et pour la crédibilité de son annonce de vivre et de témoigner elle-même de la miséricorde.

Ainsi, nous aussi, nous sommes appelés à faire de l’amour, de la compassion, de la miséricorde et de la solidarité un vrai programme de vie, un style de comportement dans nos relations les uns avec les autres. Cela demande la conversion du cœur : c’est à dire que la grâce de Dieu transforme notre cœur de pierre en un cœur de chair (cf. Ex 36, 26), capables de s’ouvrir aux autres avec une solidarité authentique. Cela en effet, est beaucoup plus qu’un « sentiment de compassion vague ou d’attendrissement superficiel pour les maux subis par tant de personnes, proches ou lointaines »
Dans l’esprit du Jubilé de la Miséricorde, chacun est appeler à reconnaître comment l’indifférence se manifeste dans sa propre vie, et à adopter un engagement concret pour contribuer à améliorer la réalité dans laquelle il vit, à partir de sa propre famille, de son voisinage ou de son milieu de travail.
Je confie ces réflexions, ainsi que mes meilleurs vœux pour la nouvelle année, à l'intercession de Marie, la Très Sainte, Mère attentive aux besoins de l'humanité, afin qu'elle obtienne de son Fils Jésus, Prince de la Paix, d’exaucer nos supplications et de bénir notre engagement quotidien pour un monde fraternel et solidaire.
Du Vatican, le 8 décembre 2015
Solennité de l'Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie
Ouverture du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde

FRANCISCUS

Bonne  année 2016. 

dimanche 27 décembre 2015

Ouverture de la porte Sainte à Namur

Le 3ème dimanche de l'Avent le 13 décembre2015 se pressai vers la cathédrale Saint Aubain de Namur une foule impressionnante de prêtres, religieuses, laïcs de tous âges, couples et famille, jeunes et enfants, des bambins portés sur les épaules des papas ou blottis sur le coeur des mamans. Tous se préparaient, dans la bonne humeur, à participer à l'ouverture solennelle de l'année jubilaire de la miséricorde.
Un cri vibrant:"Portes, levez-vous;qu'il entre le roi de gloire"Ps23 repris par une foule enthousiaste invitait notre évêque  Monseigneur Rémi Vancottem à  ouvrir la porte sainte. Le Jobel retentit au fond de la cathédrale et la porte sainte s'ouvrit permettant au cortège des doyens accompagnant nos deux évêques de pénétrer dans le lieu saint pour y célébrer l'Eucharistie solennelle.
 Comme a dit notre évêque:Voici la porte du Seigneur:entrons pour obtenir la miséricorde et le pardon."


 Ce fut une célébration grandiose dans sa simplicité, d'une rare beauté où la Parole, les gestes, la lumière, l'eau et l'encens, le chant, le son des orgues accompagnées des trompettes s'harmonisaient pour rendre à Dieu, action de grâce et louange.




Après avoir remis la bannière du jubilé aux représentants des différents sanctuaires et basiliques du diocèse, qui auront aussi une porte de la miséricorde et seront jubilaires Monseigneur invita cordialement l'assemblée à venir partager le verre de bière offert par les différents monastères du diocèse, un morceau de fromage et du jambon, cadeau des commerçants de Bastogne. Nourriture terrestre après le Pain venu du ciel, en partage.
Avant la  bénédiction finale, l'évêque a consacré le  diocèse de Namur à la divine Miséricorde. Il s'est inspiré de la prière dite par Saint Jean -Paul II le 17 août 2002 à Cracovie;